Encore une fois, la sixième, à se demander comment il sera possible de courir pendant plus de quatre heures et de parcourir plus de 42 kilomètres. A se poser les mêmes questions auxquelles on a pourtant déjà eu des réponses. Doute ou part de la concentration ? Va savoir !
Heureusement que je fais partie de ceux qui courent avec la tête ; les jambes n'ont qu'à suivre.
Dimanche prochain, ce sera au tour du Marathon de Paris.
Avantages :
1. Pendant qu'on pense au voyage à Paris, on ne s'angoisse pas pour la course.
2. Un parcours plutôt sympathique.
3. Courir un des marathons du Top 5 : (New-York, Berlin, Londres, Rome, Paris)
Inconvénients :
1. Il fera beau. Un peu trop chaud. Donc boire. Donc pisser. Donc sur-gérer.
2. Beaucoup de monde : 40 000 coureurs. Ce sera difficile de faire une performance.
Vivement Dimanche après-midi que je commence à penser au Marathon Nice-Cannes de novembre prochain.
La "feuille de route" me paraît claire.
RépondreSupprimerIl ne me reste plus qu'à te dire le M...rituel.
Pour penser en courant cher Claudio, va donc voir ici, il est question d'individu, d'intelligence et de raison.
RépondreSupprimerhttp://www.pauljorion.com/blog/?p=23060
Les commentaires qui suivent, en particulier le 5 et la réponse laissent apprécier selon que l'on raisonne selon Aristote ou Platon.
@Claudio sur conférence de Guy Corneau.
RépondreSupprimerTu as eu raison ! Une conférence devrait être gratuite ( avec les ventes /dédicaces de livres à la fin, cela devrait suffire non? Bon, je t’offre une (re) lecture :
http://www.louispaulfallot.fr/archive/2010/06/16/la-guerison-du-coeur.html
Forza!
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