
"Les seuls fantômes du film sont intérieurs et, ce faisant, bien plus sournois. Eastwood, plus sobre et crépusculaire que jamais, met en scène les non-arrangements de ses protagonistes avec la vie et la mort et invite à une méditation à la fois douce et anxieuse sur la résilience."
Olivier De Bruyn
Lire sa critique sur Rue 89
VOIR Un extrait du film.
Ah ! Justement, j'ai prévu d'aller le voir. Merci pour votre avis
RépondreSupprimerPas vu, pas encore vu disons.
RépondreSupprimerJ'entends des avis partagés.
Mais Clint, c'est Clint !