Parce qu'une mienne connaissance va vivre demain un "premier jour" particulièrement important pour elle, il s'agit d'une promotion professionnelle, avec prise de fonction sur un nouveau site et exercice de responsabilités, et parce que la mienne connaissance m'a semblé être pour le moins chamboulée par l'événement, genre situations gags, tête à l'envers, migraine, m'est revenu à l'esprit un détail que l'on oublie finalement assez vite : c'est la veille du premier jour.
Pas rien, la veille !
On est dans tous ses états (sauf pour ceux qui sont peinards), on pense à tout ce qui est inutile puisqu'on débarque en terra incognita, j'en passe et des meilleures.
Et vous ?
Des anecdotes de premières fois ?
Allez... Racontez nous ça...
J'ai aussi une mienne (très proche) connaissance pour qui demain est un "premier jour".
RépondreSupprimerSinon, j'ai constaté une récurrence étonnante dans le passé : Le premier jour se passe toujours mieux que prévu et le troisième est encore meilleur. Mais le deuxième est une horreur, c'est celui du doute, celui où il faut tenir.
Une petite technique pour premier jour de prise de poste : lister ce qui marche et ce qui va bien. Le partager. Et s'en tenir là pour le moment. Poser des questions, surtout aux subalternes, leur demander leur avis et le suivre dans la mesure du possible.
Alors bon courage pour demain pour les vôtres connaissances ! ;o)
RépondreSupprimerDes premières fois... Il y en a tellement dans une vie. Tiens justement pour la première fois je vais m'en aller faire un voyage introspectif dans mes premières fois. :o)
En tout cas, c'est sympa de voyager dans ses premières fois !
RépondreSupprimerJ'en file une pour la route ;-)
Pour sourire,
Mon premier reportage "en direct" pour le journal.
La mission : suivre un match de hockey-sur-glace, sport que je ne connaissais absolument pas en l'occurrence, puis sitôt le match terminé, téléphoner au journal pour dicter mon texte afin qu'il soit mis en page et dans le canard dés le lendemain matin.
Ce stress !
Je comprenais pas tout à ce que je voyais, et à mesure que la pendule tournait, je n'en finissais pas de me demander comment j'allais faire croire aux lecteurs qui s'y connaissent que le journaliste savait de quoi il retournait.
Tout s'est alors passé comme dans un brouillard.
Le lendemain, en relisant, je n'étais pas fier !
Ce soir-là, j'ai compris que jamais la "technique" et la "cuisine interne" ne doivent prendre le pas sur ce que l'on présente aux gens. Jamais.