vendredi 26 novembre 2010

Militer, what else ?

En lisant un article sur le nouvel art de militer, je me disais qu'esthétiquement, ces nouvelles formes de militance ont certes de l'allure voir un certain cachet mais je m'interroge sur leur efficacité.
Je pensais bien sûr au combat des retraites.
On pourrait se dire que les "anciennes formules de militance" (grève, manifestation, débats) ont montré leurs limites.On pourrait aussi se dire que la militance n'est pas grand chose si "en face", il n'y a aucune velléité d'échanger.
Je pensais à d'autres combats.
Certes, on s'éveille l'esprit, on accède à de meilleures connaissances. De fait, "l'espace médiatique" bouge. Mais pour quelle efficacité ?

1 commentaire:

  1. Militer. Voilà bien un mot et une action qu'on peut définir à sa manière.
    Pour ma part, j'y associe des mots péjoratifs comme, lutte, combat, parti pris, prosélytisme, provocation, camp, clan, milice, embrigadement, groupe, appartenance, subjectivité, sclérose, rabougrissement, enfermement, sectarisme...
    Mais militer ça peut être aussi, vivre comme nos convictions nous le dictent et, apparaissant dans le champ de vision d'autres, servir d'exemple (ou de contre-exemple) et ainsi délivrer un message indirect ou même subliminal qui fera des petits sans le vouloir, sans le savoir.
    Être, en conscience, soi, c'est donc aussi militer mais en toute liberté, c'est-à-dire sans peur et sans but.

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