Quand vient l'hiver, les premiers froids disons, et puis les suivants aussi, les nuits longues et les journées givrées, je me fais toujours la remarque que le reste de l'année, je ne pense pas à celles et ceux qui vivent dehors. Du tout.
J'en vois, j'en croise, et ça ne me fait rien de particulier.
Alors, quand l'hiver sonne à ma parte, ça me chope soudain aux tripes.
Ce froid. Ce glacial. Mais comment font-ils ? Ce n'est pas un choix pour tous, ni une mode de vie.
Ce froid, le mien, cette indifférence dont alors je ne me sens pas fier.
Les sourcils en forme de point d'interrogation.
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