Comme je ne doute pas, au vu du ciel gris de ce samedi, que je vais pas mal entendre autour de moi des plaintes évoquant la pluie, cette satanée pluie, ce temps de chien, ce ras-le-bol il pleut encore, je profite de ces quelques lignes pour dire que pour ma part, j'aime la pluie, et peut-être tout particulièrement les pluies d'été, qu'elles soient douce ou plus violentes. J'aime cette eau qui dégringole, requinque la terre, créé des flaques.
Bon, je nuance le propos puisqu'il y a quelques jours, une pluie terrible s'est abattue sur le Var et ce fut dramatique.
Il est évident que je ne parle pas de ces exceptions-là.
Et puis ma boulangère me faisait remarquer que la terre, dans le sud, n'était pas la même, qu'elle n'absorbait rien, et que c'était du coup plus exposé à de tels événements. Très rapide, aussi. Il m'est souvenu Nîmes, il y a quelques années, et Vaison-la-Romaine, aussi.
Et l'odeur de la pluie sur la terre de l'été. Ouvrez-donc vos fenêtres.
RépondreSupprimerLe même plaisir amer qu'un sourire de clown.
Celle là je l'aime moins mais elle a de l'aplomb, c'est sûr !
RépondreSupprimerAmer ? âcre, plutôt, non ? âpre ?