C'est le genre d'intiatives que j'aime bien. En plus, les Trois-Moutiers, c'est un nom familier pour moi, un village transit, par lequel nous passions lorsque nous allions des Deux-Sèvres à la Lorraine et vice versa. Bon, elles ont leur côté démago. Mais à la fois, elles participent de quelque chose. Il y a quelques années, un des miens copains avait ça dans son village.
Ce fut l'occasion de faire poser les gens en famille devant chez eux, sur le pas de leur porte. Et prétexte, ensuite, 1) à organiser une fête autour du poster et 2) à ramener quelques sous pour l'association, le poster étant vendu, judicieusement à quelques encablures des fêtes de fin d'année. Malin. Le fond et la forme.
Ce fut l'occasion de faire poser les gens en famille devant chez eux, sur le pas de leur porte. Et prétexte, ensuite, 1) à organiser une fête autour du poster et 2) à ramener quelques sous pour l'association, le poster étant vendu, judicieusement à quelques encablures des fêtes de fin d'année. Malin. Le fond et la forme.
Dans un autre genre, ça m'a rappelé le témoignage d'un type croisé il y a quelques années en Ardèche. Il venait avec son épouse de quitter une ville et s'était posé dans un hameau paumé dans une montagne. Photographe, il avait entreprise de prendre en photo tous les habitants de la vallée, et d'organiser une expo dans une vieille grange, histoire d'inviter les uns et les autres et ainsi de créer du lien. Ça participe d'un travail de mémoire, aussi. L'utilisation de la photo fixe en effet ces gens à un instant T. Idéal pour les archéologues du futur. Et puis comment ne pas croire qu'il y aussi dans ce genre d'approches le désir de mettre en visages et donc en humain des cités et des lieux de vie ?
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