Ici, le propos est religieux au sens d'ôter les aspérités - tout ce qui fait peur, menace, rend malade - afin qu'on se sente bien et que l'on puisse reprendre le contrôle de sa vie à travers un bien essentiel : l'alimentation.
Les sociétés sont régies par le principe du damier. Les lois ne sont pas les mêmes dans les cases blanches que dans les cases noires. Dans ces dernières, vous pouvez toujours hurler, on ne vous entend jamais.
Les barbares ne vivent qu'avec les vivants. Les gens civilisés vivent avec les morts, à condition que ceux-ci puissent vivre. Quand je cite tel ou tel auteur, à ma manière, je les fais vivre ; je suis leur porte-parole.
Jean-Philippe Derenne, médecin passionné de nutrition. Extraits de "Le goût des autres",
une interview parue dans Le Monde du 30 juillet.
Cher Didier, toi qui es le fournisseur officiel (et combien apprécié) du modeste lecteur que je suis, s'il-te-plait, ne m'envoie pas ce bouquin-là ;-)
RépondreSupprimerAucun danger. Tu peux dormir tranquille et manger à ta faim.
RépondreSupprimerMais que ces phrases sont bien troussées !
Et que cet état d'esprit me paraît juste :-)