Le corégone , lavaret ou féra en savoyard, vit essentiellement au grand large. Il s’agit d’un poisson qui se nourrit en grande partie de plancton animal, qu’il poursuit dans la zone pélagique du lac. Pourtant, les corégones se rapprochent en décembre des rives pour se reproduire.
Le Léman abritait jusque dans les années 1920 deux corégones, « la féra » et « la gravenche ». Bien que ce soit difficile à imaginer, ces poissons très prisés ont pourtant été exterminés par une surpêche systématique qui a duré plusieurs décennies. Des introductions massives d’alevins de palées provenant du lac de Neuchâtel ont permis de reconstituer une population importante de corégones dès les années 1940.
Le corégone n’est que très peu capturé par les pêcheurs de loisir. Ce poisson est particulièrement recherché par les gournets ! La hausse importante constatée depuis 1990 environ pourrait dépendre, du moins partiellement, de l’amélioration de la qualité des eaux du lac.
Le Léman abritait jusque dans les années 1920 deux corégones, « la féra » et « la gravenche ». Bien que ce soit difficile à imaginer, ces poissons très prisés ont pourtant été exterminés par une surpêche systématique qui a duré plusieurs décennies. Des introductions massives d’alevins de palées provenant du lac de Neuchâtel ont permis de reconstituer une population importante de corégones dès les années 1940.
Le corégone n’est que très peu capturé par les pêcheurs de loisir. Ce poisson est particulièrement recherché par les gournets ! La hausse importante constatée depuis 1990 environ pourrait dépendre, du moins partiellement, de l’amélioration de la qualité des eaux du lac.
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