J'aime bien, finalement. Cette histoire de pénurie d'essence.
Le vent de panique que ça génère.
On dirait une création.
Alors que chacun a désormais vissé au coeur les préoccupations écologiques, le devenir de la planète, la biodiversité, les économies d'énergie, au premier pet de travers, panique à tableau de bord !
Quelle magnifique contradiction et quel délicieux aveu, l'air de rien.
Le coup de la panne et le sol qui tremble. Voilà qui me laisse songeur. Y'a du chemin à faire !
Alors que quoi ?
En positivant un peu, on pourrait se dire : c'est bon, ça, cette pénurie. L'occasion de faire quelques pas en avant. Un peu le principe des manifestations, non, le pas en avant ?
Personnellement, j'ai décidé de sourire quand je vois des queues à la pompe, ou quand je vois des stations fermées, j'ai également prévenu mon employeur que si j'étais à sec, enfin, disons plutôt, que si mon réservoir venait à être sec, je travaillerais depuis chez moi.
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