Ca ne marche pas trop.
Des fois, on veut éviter des "galères" susceptibles de se produire, on modifie ses plans, et on finit quand même par tomber dans le trou. Le fameux reculer pour mieux sauter. Le qui gagne perd, aussi. Au change.
Je me suis fait cette observation pour la énième fois, cet été, alors que nous faisions évoluer notre projet de camping au fur et à mesure que tombaient les prévisions météo. Alentours du 15 août. Nuages promis. Averses annoncées.
Le voyage via mapy nous fit ainsi évoluer : au lieu des Alpes (Prapic), nous décidâmes d'aller au sud des Alpes, au début de la Provence (Forcalquier). Mais non.Il nous sembla préférable de plutôt filer vers l'Aveyron. Mais d'Aveyron, il n'y eut point : c'est la Provence (Saint-Maximin) qui nous a finalement accueilli. Un camp de base.
D'où le sourire lorsque ce samedi là, nous mimes le cap sur le Verdon.
Parce que ce samedi-là, eh bien, il a plu. Quasiment toute la journée. Juste le temps d'installer nos tentes, en fait. Ironie.
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