Sur un blogue (qui lui-même migre), j’ai lu un message qui
aurait pu être écrit hier !
Et pourtant, il date du…1er janvier 2004.
" Je me suis dit parfois que j'avais la blogbougeotte.
Mais ce n'est rien à côté de Didier. "
Didier, nous lui devons Terra Philia, et de çà, je voudrais le remercier.
Didier, nous lui devons Terra Philia, et de çà, je voudrais le remercier.
Un jour, il a laissé les clés et est parti vers des
nouvelles aventures, d’écriture.
J’ai été de la poignée qui a continué à faire vivre ce
blogue mais rapidement le cœur n’y était plus et je ne vous parle pas de la
courbe des statistiques des visites.
Cette semaine, Didier s’installe Au coin du bois et je souhaite non
pas longue vie à son nouveau blogue (voir la citation plus haut) mais quelques belles pages le temps de ses
envies.
Ceci écrit, et comme je suis plutôt intuitif, j’ai le sentiment qu’une page se tourne.
D’autres raisons dictent mon choix. C’est du travail de
publier une note, quelle soit de mots, de photos ou les deux. (En tout cas pour
moi.) Je me suis investi dans quelques pages de ce blogue et je ne
le regrette pas mais je n’ai pas toujours eu (sauf quelques belles exceptions) le
sentiment que mes billets étaient partagés. Si je me trompe, c’est tant mieux.
Et puis, j’attendais d’autres contributions que celles des 3
ou 4 personnes qui se sont vraiment investies sur Terra Philia. Qu’il devienne vraiment un blogue « communautaire ».
Voilà chers ami(e)s, lecteurs, et passants sur cette Terre de
Philia ce que j’avais envie d’écrire et j’ai attendu l’après
semaine - fatigante pour d'autres raisons mais aussi de réflexion - réparée par une bonne nuit pour l’écrire tranquillement et
posément ce samedi matin .
PhotosLP Fallot-Haute-Provence, mai 2012
Merci LP.
RépondreSupprimerPour ta "participation". Tes efforts. J'avoue que voyant s'éteindre quelques contributeurs, j'appréciais ta présence, ton désir de maintenir à flot autant que faire se peut cette Terra Philia qui reste une belle idée. Ce fut suffisant pour me requinquer et "revenir", retenter. Mais je savais à l'automne que ça n'irait pas au-delà de la présidentielle. Mon petit doigt m'a dit... :-)
Merci, aussi et surtout pour tes mots qui disent mieux que je ne l'aurais fait ma "migration". Pas très loin lorsqu'on y songe. Juste la porte à côté, finalement ;-)
Pour moi, ouvrir un blog, fermer un blog, c'est oser une aventure.
C'est le partir revenir cher à Lelouch, un mouvement qui correspond à nos vies, nos instants, nos envies du moment, nos évolutions, nos avancées, nos reculades. Le net est une maison et l'on change de pièces, parfois. L'on se disperse à certains moments. L'on se rassemble à d'autres.
J'y vois signe d'une recherche, et j'aime comme à chaque fois il y a le souffle de l'aventure.
Mais l'essentiel n'est pas là.
Il est dans ce partage, ces échanges, ce "collaboratif". C'est ma grande cause. C'est ma grande frustration car depuis tant d'années que j'essaie, tant d'années que j'espère, le résultat me déçoit mais c'est ainsi.
Alors je note ce terme de "utopie" qui est celui qui a été mon premier pas sur le net.
Celui qui me suit. Celui qui me guide. Je lâche pas :-)
Personnellement, j'aurais préféré supprimer Terra Philia. Mais ma mémoire me dit que quelques uns auraient mal vécu la chose.
Tournons la page et ne retenons pas la naphtaline mais le mouvement, le fait de tourner, les pages nouvelles qui s'écrivent, les liens nouveaux qui s'offrent.
Le changement, etc. :-)
Et de deux !
RépondreSupprimerMerci à toi Didier et à tous les contributeurs de ce blog. Je ne l'ai pas souvent commenté mais je l'ai beaucoup lu.
RépondreSupprimerMerci. Et c'est déjà ça ! :-)
RépondreSupprimerBon, en même temps, nous sommes juste à côté ;-)