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mercredi 7 décembre 2011

L'ado, le portable, le rite de passage ?

Le siège dure maintenant depuis quelques mois.
A 13 ans bientôt 14, on veut faire comme la majorité des copains.
On veut avoir un portable.
La période des fêtes est de ce point de vue, côté ado, un excellent moment pour déposer les revendications.
Côté parents, le débat n'est ni aisé ni inutile.
Le réflexe, pour ce qui me concerne, c'est de la jouer tranquillement vieux schnock un brin inquiet par la chose. Et de dire non, pas de portable. Trop tôt, pas de besoin particulier. On verra plus tard. Pas du bottage en touche à la légère, plutôt la conviction que ce n'est pas le moment.
Ce n'est d'ailleurs pas une question de thunes.
Mais l'autre jour, ma branche vacille.
Une lecture met un coin dans le tronc, si je puis dire. Donne au débat et au portable une autre dimension.Car   voilà que le portable est aussi symbole.
J'apprends notamment que 49 % des 12-13 ans ont un portable, 76 % des 14-15 ans et 95 % des 16-17 ans (enquête TNS-Sofres pour l’Union nationale des associations familiales [Unaf], 2009). Fichtre !
Refuser le portable, c'est aussi ne pas prendre en compte ce qui pourrait fort bien ressembler à un nouveau rite de passage.
Je me souviens de la première fois où j'ai le droit de goûter du vin.
Je me souviens de mes communions.
Moi qui trouve que notre monde moderne n'en produit plus, des rites de passage, à force d'avoir éradiqué les précédents, je me retrouve face à l'un d'eux que je n'ai pas vu venir.
Aussi je dépose ici ce débat.
Le portable, l'ado. Quelle est votre position là-dessus ?

En savoir plus ? Un dossier à télécharger ici.

vendredi 18 novembre 2011

Mon Marathon de la Vérité

Voilà. Pour la septième fois, je suis à la veille de mon premier marathon. Car à l'approche de la course, l'expérience ne sert à rien. Les mêmes inquiétudes, les mêmes doutes et les mêmes appréhensions s'invitent et bizarrement, à chaque fois plus nombreuses. On cherche les raisons et on trouve toujours. On saurait rassurer les autres mais qu'ils ne s'avisent pas d'essayer de le faire avec soi, on les verrait venir et ne croirait aucune de leurs salades, même sincères.
Dimanche, c'est le (et mon) quatrième Marathon des Alpes-Maritimes et j'ai trois ans de plus qu'à mon premier. Marseille, Rome et Paris ont évité la monotonie, mais jouer à domicile déclenche une adrénaline particulière, surtout lorsque le "à domicile" nous offre un tel parcours dans un tel cadre. Adrénaline chauvine, partisane, subjective ? Peut-être. Assumons.
Cette course sera pour moi le Marathon de la Vérité. C'est ainsi que je l'ai qualifié lors de mon inscription. Dimanche, il me dira si je suis définitivement sur la pente descendante et peut-être en phase terminale ou si ma catastrophique prestation d'avril dernier à Paris n'était qu'une méforme ponctuelle et passagère. Réponse Dimanche après-midi.
Jamais aucune préparation n'aura été aussi variée et aussi chaotique : Me fiant toujours au même programme (dix semaines à raison de 4 sorties dont une longue) estampillé "senior", j'ai dû pour des raisons familiales arpenter des parcours et des latitudes où mes baskets n'avaient pas encore aventuré leurs semelles. L'estuaire de la Gironde et ses vastes plages ont plutôt été accueillants et la chaleur de la Côte d'Azur de l'époque ne m'a pas trop manqué. La Tunisie m'a été moins bénéfique. Le charme et le décalage de devoir s'entrainer en des lieux insolites n'ont pas suffi à compenser l'inquiétude et la trop forte concentration à devoir s'entrainer en des lieux insolites. La mythique course Marseille-Cassis est venue s'intégrer dans le programme. Elle fut ravissement, explosion de joie et grande et belle découverte ; cependant, elle laissa quelques traces de fatigue, plus dues au voyage qu'à la course.
Enfin, à 10 jours du top départ, un gros rhume ou angine ou autre rhino-pharyngite, dont je refuse même de connaitre le nom m'a cloué sur place, en plein envol, en pleine préparation. C'est déloyal, n'est-ce-pas ? Les vents traitres du bord de mer n'ont pas reconnu le mérite d'un senior aussi rigoureux dans sa préparation et lui ont infligé une épreuve supplémentaire. Et comme prévu, c'est plus l'inquiétude de l'épreuve que l'épreuve elle-même qu'il a fallu combattre. A cette heure, je ne sais toujours pas si je suis sorti d'affaire.
Quoi qu'il en soit, je serai sur la Promenade des Anglais, dimanche à 8 heures, avec quelques milliers d'autres coureurs, avec en ligne de mire la Croisette à Cannes, 42,195 kilomètres plus loin. La dernière fois, ce fut 4 heures 21 minutes et 18 secondes plus tard.

lundi 7 novembre 2011

Des petits t(ours) avec l'Ursus Arctos

Source de l'image ici.
Et alors, nous partîmes. Un lundi, alors que la nuit tombait déjà bien qu'il ne soit pas si tard que cela, le mitan de l'après-midi.
Nous partîmes d'abord sur les traces des animaux menacés dans nos contrées.
Liste rouge.
Où l'on apprend qu'une espèce sur dix l'est. Et pensées en passant pour quelques disparus tels le " Bouquetin des Pyrénées, la Baleine des basques, et le Phoque moine, disparu des côtes provençales dans les années 30 et de Corse à la fin des années 70 ".
Ensuite nous allâmes sur les traces de l'ours brun d'Europe. Nous en vîmes une fois non loin de chez nous, plus précisément ici. C'est en tout cas sur cet animal que notre collégien à choisi de se pencher.
Le présenter, d'abord.
Evoquer ensuite ce qui le menace, ce que l'homme a fait, et ce que cet homme fait aujourd'hui pour le sauvegarder.
Comparer les infos, fouiller, creuser, imprimer, découper.
D'ores et déjà sympa, la balade.
Mais pas terminée.
Dossier à construire, maintenant. Coller, noter, résumer, expliquer. Choisir.

vendredi 28 octobre 2011

Ils vibrent ces projets morts ou pas nés

Nous avons tous des projets morts. Des qui n'ont pas fait long feu. Ou des qui n'ont même jamais vu le jour.
L'autre jour, j'en évoquais un avec un collègue.
Je me suis fait la remarque ce jour-là que ces projets, bien souvent, on n'en parlait pas.
Ou peu.
Comme si on n'osait pas.
Comme si... autre chose. Une culpabilité, un peu de honte, que sais-je encore.
C'est couillon, je trouve. Qu'on n'en parle pas plus. Ils disent tellement de choses ces projets, ces idées. Car nés et vite trucidés, pas nés, avortés pour un tas de raisons, bonnes ou mauvaises, ils sont souvent intéressantes.
Porteurs de contenu. Parfois d'utopies sympa. Parfois de prolongements, ceci faisant naître cela.
On ne pond pas sans raisons !
D'où l'idée de ce billet.
Un billet participatif évidemment.
Et si nous nous racontions nos projets morts ou pas nés ? Et si on en parlait ?



mercredi 19 octobre 2011

Impressions Tunisiennes 6/6


"A vous donner des ailes"
J'ai couru 1h 50 sur un parcours calme et agréable un dimanche matin. La montée solitaire devant l'interminable façade du Palais Présidentiel avait de l'allure. Quelques policiers, des militaires et des gardiens en civil me regardent curieux mais sans insistance. Tout va bien. Je pense à la copie de mon passeport qui transpire sous ma casquette.

J'ai assisté à un meeting politique, celui du Pôle Démocratique Moderniste (PDM). Beaucoup de monde. Une moyenne d'âge à vous donner des ailes, de l'espoir et de l'énergie. Des styles très européannisés, des looks d'artistes et d'étudiants. L'ambiance chaleureuse, fraternelle et enthousiaste est au rendez-vous. Je n'ai rien compris aux discours et pas seulement à cause de mon ignorance de la langue mais aussi parce que la sono est déplorable. Le sens de l'organisation m'a fait dire moqueur que révolution ou pas, démocratique ou pas, moderne ou pas, l'organisation reste "à la tunisienne". Le reste est sympathique : Musique, hymne, hommage aux morts de la Révolution, slogans, tee-shirts et drapeaux. Du classique pour les habitués de la démocratie. Un vrai changement pour les néo-démocrates. L'expérience est très rafraichissante.

Dans moins d'une semaine les élections auront lieu. On sent l'effervescence et l'incertitude. On capte une conversation qui nous fait croire au grand soir et à la maturité politique. Puis une autre, qui nous prévoit le chaos et met au clair l'ignorance et les freins culturels. On balance au gré des discours entre espoir et effroi. On découvre des nuances, des surprises et des anachronismes. Une famille entière de religieux très fervents combat les thèses du parti islamique. Certains n'ont pas encore choisi entre deux extrêmes pourtant opposées. D'autres savent qu'ils vont aller voter et rien de plus. Quelques uns redoutent des affrontements dans les bureaux de vote.
L'impression d'attente des premiers jours fait place à une pression et à une impatience.
L'arc est bandé. On lâchera la corde d'un coup, dimanche. Mais vers quelle cible enverra-t-il la Tunisie ?

vendredi 14 octobre 2011

Quatre leçons primaires et bénéfice du doute

Il est temps, à quelques encablures du vote terminal, tout du moins pour ceux qui vont voter dimanche, de noter quelques points qui font qu'au-delà des chiffres et des votes, ces primaires sont appelées à faire date. Telles un curseur à positionner sur la frise de nos chronologies.
La première, c'est qu'on a revu et réentendu la gauche et que cela n'a pas fait de mal dans un paysage citoyen au débat confisqué depuis de (trop) longues années par la droite, les joutes politiciennes et les médias connivents. Là, le politique, et avec lui le journaliste, ont laissé les idées filer jusqu'aux gens et ne sont pas seulement contentés de se parler entre eux, de se couper la parole, de balancer du slogan.
Ca a fait du bien. J'espère que ça a rappelé à certains habitants que tout cela nous concerne réellement et que ce n'est pas leur problème dont il s'agit. Mais bien des nôtres. Surtout, mieux que les problèmes, il a été question de solutions. De possibles. De autrement. Faut bien ! Soudain, la primaire n'est plus devenue confidentielle. Elle a pris ses aises. Et des airs d'affaire d'état au sens noble du terme. La politique s'est rappelée en quelque sorte à notre bon souvenir en évoquant les affaires de la cité. La mayonnaise a pris. Je salue cette fraîchitude démocratique.
La seconde, c'est que les idées de gauche ont pu s'exprimer et se poser dans nos chaumières. Une gauche qui a eu l'occasion, et elle ne s'est pas gênée pour le faire, d'amener des débats, de poser des idées et de nous les servir sans constamment être sur la réaction ou la défensive.
Cela n'a pas fait de mal non plus.
Les gens ont maintenant de quoi choisir. Ils ont aussi, peut-être, pour celles et ceux bien sûr qui ne sont pas totalement coupés de ce monde-là, de quoi faire des choix en leur âme et conscience.
La troisième, c'est que quelque chose est prêt à changer dans notre monde et dans notre pays. Chacun essaie de se repérer dans ce qui est devenu un vaste dédale.
Les primaires ont obligé les impétrants comme on dit désormais à sortir des discours systématiquement sombres et opposants pour nous proposer des alternatives. J'ai moins entendu de slogans. J'ai senti que quelques éléphants changeaient de logiciels. Cela invite aussi à de l'indulgence. C'est le début de quelque chose. Et de moins futile qu'il n'y paraît. Le jeu citoyen se pose là : on est plus dans la nécessité d'une alternative que dans un simple coup d'urnes dont l'objectif serait de mettre en place une alternance.
La quatrième, c'est qu'il faut maintenant du temps pour que les graines semées germent et donnent des fruits. C'est l'occasion de se dire que dimanche soir ne marquera que le début d'une aventure. Le commencement de quelque chose. Un quelque chose qui, et c'est peut-être ça qui est nouveau, ne part pas de zéro. Cette évolution ne tombe pas du ciel. Elle n'a pas déboulé en cet automne 2011. Le 21 avril 2002, puis le vote européen ont posé des jalons. Ils furent des temps forts. L'avènement des nouvelles technologies, les crises à répétition, l'effondrement d'un système qui s'écrase de l'intérieur (la bulle financière) et les impératifs climatiques et énergétiques complètent la panoplie.
Cet été, je me disais que ça sentait la fin du monde. Cet automne, je me dis toujours ça. Mais avec la sensation que moins d'impuissance est possible.
Ce n'est pas déplaisant. Et le bénéfice du doute est ma foi sensation agréable, par les temps qui courent.





samedi 8 octobre 2011

Primaires : l'équipe et le candidat

Finalement, j'irai voter demain à l'occasion des primaires socialistes.
Ce n'était pas couru d'avance. Je n'aimais pas notamment cette idée de payer.
Aller finalement voter, c'est pour moi reconnaître ce dispositif, dont j'ai apprécié qu'il ait finalement lieu, moi qui au lendemain de l'affaire DSK pensait qu'ils feraient mieux de laisser tomber, de choisir leur candidat, de ne pas demander aux français de faire le choix à leur place.
C'est aussi saluer l'implication de toutes celles et ceux qui, demain, passeront un dimanche pour s'occuper de ces primaires.
Et puis personnellement, j'ai cheminé. Ce n'est pas leur candidat que je vais aller choisir mais le mien. Celui qui m'a le plus parlé.
Car j'ai apprécié les débats conduits dans le cadre de ces primaires.
J'ai apprécié le fait qu'ils aient lieux, déjà. Ca m'a fait du bien pendant quelques semaines,de moins voir les gouvernants,  malgré leurs efforts désespérés parfois, de voir d'autres visages, d'entendre d'autres discours, d'autres mots. De sentir qu'on parlait d'autres choses, autrement. L'exercice a eu aussi ceci de bien qu'on évoquait enfin aujourd'hui, demain, des perspectives. Ca change de la grisaille entretenue.
Et s'il faut choisir un candidat, je n'oublie pas m'être dit lors du second débat, et avoir ressenti, que c'est leur force collective, en fait, qui m'intéresse le plus. Je me suis dit à plusieurs reprises que quoi qu'on nous dise, s'il faut un chef, il faut aussi une équipe. Et cette équipe, avec ses diversités, ses points communs, m'a convaincue. J'aurais d'ailleurs aimé que les écolos et le front de gauche jouent le jeu, histoire que les primaires socialistes soient réellement des primaires citoyennes.
Quelque chose est enclenché. Tant mieux.

samedi 21 mai 2011

Une question. Ma réponse.

Une question glanée sur un site réseau que je fréquente :

Quel est le livre qui a changé votre vie ?

Le livre qui vous a apporté du réconfort, celui qui vous a ouvert les yeux, celui auquel vous pensez régulièrement, celui dont vous ne pourriez pas vous passer ? Bien-être, développement personnel, philosophie mais bien sûr et pourquoi pas littérature !

Ma réponse :
Je ne crois pas aux "révélations". Je pense que nous sommes le résultat d'alluvions diverses qui déposent chacune un petit quelque chose et que c'est en se retournant qu'on voit le changement. Bref, tout change notre vie.
Aussi quand je décide de répondre à ce type de question, je joue le jeu... à moitié en délivrant plutôt une liste :
- Le Manuel d'Epictète.
- Les Essais de Montaigne.
- L'éloge de la fuite d'Henri Laborit.
- Propos sur le Bonheur d'Alain.
- Vers la plénitude et la joie d'Emmet Fox
- La clé de Cassette et Barbarin.
- La dynamique mentale de Christian Godefroy.
- La vie des maîtres de Spalding.
- Le chemin du bonheur du Dr Victor Pauchet.
- Le hasard n'existe pas de K. O. Schmidt.

Et j'ajoute un film, parce que c'est important, et que ça contredit un peu ce que j'ai dit plus haut à propos de "révélation" ;-) : "Mon oncle d'Amérique" d'Alain Resnais.

vendredi 29 avril 2011

"Attachement et Famille..."

Conférence de Boris Cyrulnik. Mon compte-rendu.

La forme : Arrivé à l'heure, je n'ai pu accéder à la salle de conférence déjà bondée et fermée. Un grand écran installé dans l'entrée me permettra d'assouvir ma curiosité assis par terre. Je n'assisterai pas aux questions du public puisqu'on nous a virés de façon très autoritaire ; le fonctionnaire boule-dogue devait ranger, c'était l'heure. Je n'ai pas pu, non plus, croiser mon amie Sophie qui faisait partie des privilégiés dans la salle.
Ce n'était pas la première fois que je suivais Boris Cyrulnik, mais je ne l'avais jamais vu en aussi grande forme. Je me suis même demandé s'il n'était pas un peu éméché. Il a même un peu abusé des "trucs" de conférencier. Peu importe, l'homme est passionnant !

Le fond : S'il y a un sujet qui m'interpelle depuis quelques années, quelques décennies même, c'est bien celui de la famille. Je me suis souvent trouvé en minorité dans mes opinions et mes positions jugées "radicales" par le plus grand nombre. Bref ! J'allais à cette conférence avec la quasi-certitude d'être renvoyé dans les cordes par un discours plus dans l'air du temps, qui plus est, tenu par une éminence respectée de tous, à commencer par moi.
J'en suis sorti rassuré.
Rassuré par l'insistance portée sur le fait que l'image de la famille que nous avons n'est que très récente et surtout très localisée : depuis l'ère industrielle et dans notre vieille Europe. Rassuré par la vision systémique de la famille : il suffit qu'un élément soit affecté pour que l'ensemble vacille. Rassuré par une analyse purement intellectuelle sans hiérarchie des différentes formes familiales et de leurs attachements. Rassuré par la confirmation que c'est le lien affectif et la sollicitation qui fait grandir et pas un prétendu capital de départ.
J'en suis sorti plus savant.
J'ai appris le mot "diade". J'ai appris qu'il n'est pas exclu que dans deux ou trois générations, les femmes puissent se passer complètement des hommes (ça nous fera des vacances ;-), que la machine était déjà bien en marche. J'ai appris que c'est entre 20 et 30 mois que les enfants sont les plus réceptifs aux apprentissages.
Bon. C'est un compte-rendu subjectif et grossier. Mais c'est le mien.
(je reviendrai d'ici quelques jours, vous reparler Famille)


lundi 3 janvier 2011

Vos trois souhaits


Chez nous, on a joué aux souhaits. Je vous propose d'en faire autant.
C'est assez simple, il suffit de répondre à cette question :
Quels sont les trois souhaits que vous formulez pour vous en 2011 ?

samedi 1 janvier 2011

La page blanche / et hop !


Bonjour et bienvenue ! Nous voilà donc le 1er janvier 2011. Bonne année à toutes et à tous !
Page blanche pour commencer. Carte blanche à vos inspirations. Les commentaires sont à votre disposition :-)

jeudi 30 décembre 2010

Vagabondage

En retombant par hasard sur ce site déjà arpenté en d'autres temps (le recours aux forêts, c'est ici), en m'imaginant faire ce choix qui me conduirait à aller vivre au fin fond d'un bois, en me disant, mais bigre, qu'est-ce donc que tu ferais de tes journées dans ta forêt, tout en me pourléchant les babines en reniflant ce lard que je me ferais au feu de bois,  m'est venue cette idée, déposer ici cette question :
Et vous, à quoi pensez-vous lorsque votre esprit vagabonde, avez vous des envies de vivre autrement, ailleurs, et si oui, où ça, comment ?
Précision : pour bien répondre, il ne s'agit évidemment pas d'élaborer un projet rationnel mais plutôt spontanément, comme ça, de laisser gambader les doigts sur le clavier.
Exemple : je parlerais pour ma part de Bretagne, de vivre sur une île, Belle-Ile en Mer, par exemple, mais je pense que ce pourrait être autre chose, et j'aimerais m'y coltiner les quatre saisons.

mardi 28 décembre 2010

Le jeu des figures marquantes

Jeu proposé par madame qui est tombée là-dessus en surfant :
Quelles figures ont marqué votre enfance, adolescence, en dehors de vos parents ?

Vos suffrages sont sollicités, mesdames et messieurs :-)
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