dimanche 31 juillet 2011
Deux gars, deux filles.
mardi 12 juillet 2011
VAKO part en week-end
En matière de communication chacun de nous a une approche de représentation mentale dominante. Les "PNListes" appellent ces perceptions le VAKO : pour Visuel, Auditif, Kinesthésique et Olfactif auquel on associe le Gustatif. Voici une façon ludique de les représenter par le récit d'un même évènement privilégiant tour à tour les formes différentes de perception. On peut s'amuser à rechercher les mots et expressions choisies pour forcer le trait.
Texte Visuel :
Pour préparer notre dernier week-end, j'ai jeté un coup d'oeil sur le Guide du Routard qui donne assez clairement un panorama des activités proposées par notre lumineuse région.
Après une entrevue avec ma famille, nous avons envisagé de découvrir l'île Sainte Marguerite.
Du port, nous apercevons déjà l'île à l'horizon. La mer et le soleil nous permettent de contempler un spectacle fascinant : les reflets de cette éclatante matinée nous déroulent un tapis de lumière aveuglant qui semble être un miroir où se reflète le bateau qui nous présente notre première vision de l'îlot.
Arrivée : Une oeillade à gauche, un regard à droite. Nous envisageons une échappée à l'ouest pour observer les diverses espèces d'oiseaux présentes.
Apparemment, il semble que Sainte Marguerite soit restée à distance de l'urbanisation et plus nous découvrons le littoral, plus nous constatons que nous avons eu une idée lumineuse en venant ici pour en prendre plein les yeux et pouvoir indiquer cette destination à d'autres.
De mon point de vue, je constate que nous avons passé une excellente journée.
- C'est clair, me répond mon fils.
Texte Auditif :
J'avais entendu parler des îles de Lérins, et je m'étais laissé dire qu'il y régnait un calme absolu.
Bien entendu, je me devais de dialoguer avec ma famille afin d'accorder nos violons sur l'idée de passer une journée à l'île Sainte Marguerite.
Cela disait quelque chose à ma femme et nous ne fûmes pas longs à nous entendre.
Mis à part le bruit assourdissant du bateau, tout était harmonieux.
Entre le clapotis des vagues, les cris des mouettes et quelques rires d'enfants, nous entendions bien faire le tour de l'île à un rythme de randonneur, plutôt que de mettre l'accent sur la baignade.
En fin de journée, nous avions tenu parole. La boucle bouclée, nous entendons bien faire écho sur tous les tons à d'autres personnes de notre journée à l'écoute d'une nature sans fausse note. Nous nous empresserons d'amplifier la rumeur qui était venue chatouiller nos oreilles sur la beauté du lieu.
La prochaine fois, nous écouterons l'appel de l'île voisine, Saint Honorat dit-on le silence est roi.
Texte Kinesthésique :
Le week-end dernier, j'éprouvais une certaine fatigue et ressentais le besoin de bouger et de me relaxer dans un lieu calme et apaisant.
Aussi, sans faire pression sur mon entourage, j'ai saisi l'occasion pour proposer une journée à l'île Sainte Marguerite.
J'avais touché juste, ma femme attrapa l'idée au vol et mon fils ne résista pas longtemps. La tension des derniers jours pesait sur nos organismes et chacun caressait l'envie de décompresser.
Tout commençait bien : nous étions sereins sur le bateau solide, résistant et confortable qui nous menait en toute sécurité sur une mer calme et lisse vers un îlot qui sentait déjà la pinède.
Dès les premiers pas, nous étions très à l'aise sur cette île et une sensation de bien-être nous envahissait. Ce contact direct avec la nature était émouvant.
Après une baignade pendant laquelle la chaleur du soleil et la fraîcheur de l'eau se disputaient la sensibilité de nos peaux, nous décidâmes, de pied ferme, de faire le tour de l'île.
Ce fut un choc : les émotions se succédaient et nous avions à coeur de tout saisir, d'embrasser chaleureusement l'instant présent.
Fin de journée : mon fils en avait plein le dos. Nous, nous pensions avoir eu du flair en choisissant de venir prendre notre pied sur ce doux paradis.
Frappés par tant de sensations, nous sommes excités à l'idée de sensibiliser d'autres personnes à cette excursion.
Texte Olfactif (ou gustatif) : (écrit par notre amie Béa)
Le week-end dernier, j'éprouvais une âpre lassitude et aspirais à goûter aux plaisirs du soleil dans un lieu calme et apaisant.Aussi, sans faire pression sur mon entourage, j'ai saisi l'occasion pour proposer une journée à l'île Sainte Marguerite.
Mon offre les allécha, ma femme approuva d’un œil pétillant et mon fils aussi se laissa tenter. La tension des derniers jours grignotait nos organismes et chacun désirait avaler quelques goulées d’air pur.
Tout commençait bien : nous étions sereins sur le bateau rouge framboise et nos langues se délectaient avec gourmandise du sel sur nos lèvres, traces piquantes laissées par les embruns.
Dès les premiers pas, nous étions très à l'aise sur cette île et une sensation de bien-être nous envahissait. Ce contact direct avec la nature était émouvant. Des fruits gorgés de sucre et de soleil appelaient nos mains.
Après une baignade agréablement rafraîchissante, nous décidâmes, de pique-niquer, la faim nous tenaillant tous les trois.
Le jambon de pays savoureux, les crudités juteuses et colorées, le pain encore chaud et croustillant passaient de main en main. Nous débouchâmes un excellent rosé bien frais aux arômes de fruits rouges et terminâmes ce délicieux repas avec un melon mûr et sirupeux à souhait et des pêches parfumées et sucrées.
Une promenade digestive nous permit de visiter ce site magnifique. Nous étions friands de ces paysages protégés, nous nous délections de ce calme, de ce silence.
Fin de journée : mon fils en avait plein la bouche, touché au plus profond de son être par toute cette beauté offerte. Ma femme, elle, me regardait avec des yeux gourmands. Nous étions repus, notre faim de sérénité assouvie par cette délicieuse journée sur ce doux paradis.
mercredi 12 janvier 2011
La communication
J'aime par exemple quand le message ne passe pas ! Parce que cela m'invite à progresser. A m'interroger. A trouver pourquoi il n'est pas passé. Et à essayer qu'il passe, la fois d'après. A mieux bosser le contenu, le contenant, valeur en bandoulière.
samedi 25 décembre 2010
PeachR, découvrez la musique
Mais on a aussi des handicaps : de la voix-off agaçante entre quelques morceaux. Difficile de passer la réclame, qui se met en pause quand on coupe le son.
lundi 27 septembre 2010
Crise médiatique ? Quelle crise ?
Gros plan en passant sur les alter mardis, parlons solutions. C'est ici.
mercredi 22 septembre 2010
klaxon

Bien aimé lire aussi que pour la majorité, la communication devrait mener au consensus. Or, la communication signifie échange et non pas communion ou commune-action. La communication se rapproche davantage du troc que de la compréhension.
vendredi 3 septembre 2010
touche féminine

mercredi 1 septembre 2010
Le portrait
De quoi s'agit-il ? Du portrait. De l'art du portrait. On en apprend et on en dit beaucoup lorsque l'on plonge dans des vies. Le portrait, pour moi, c'est l'éphémère qui prend des airs d'éternité. C'est la petite histoire qui fait les grandes. C'est le coup d'oeil qu'on porte sur des gens, des métiers, des lieux.
En photo, j'aime aussi beaucoup cela, un peu pour les mêmes raisons je pense.
Bien aimé l'article consacré au sujet par la revue Acrimed.
dimanche 29 août 2010
Médias à part
A l'aube de mes vingt printemps, j'ai eu le bonheur de pouvoir fréquenter Actuel, L'autre journal ou d'autres, sans oublier la tentative de Libération de lancer un hebdomadaire "magazine" fleurant bon la créativité, le regard décalé, l'écriture. Des revues comme De l'Air ou plus récemment XXI, Le Tigre, Causeur en sont certainement les dignes rejetons.
Bon, soyons clairs : je ne captais pas tout, je ne lisais pas tout, mais il se dégageait de ces revues un vent de fraîcheur, un côté qui ose, et cela me plaisait d'autant qu'étant en début de carrière, je multipliais les références puisqu'on m'avait donné un excellent conseil : pour bien écrire, il faut beaucoup observer et beaucoup lire.
Alors pensez que j'ai aimé lire sur l'excellent site l'annuaire des idées tout un sujet sur les années 80 et Actuel.
Pas de nostalgie, plutôt l'impression d'avoir eu de la chance de connaître ça.
Au passage, cette anecdote : quelques années après qu'Actuel ait fermé boutique, j'étais dans un magasin de village. Il vendait de tout, y compris des journaux. Parmi eux, que vois-je ? Un actuel. Putain, je me dis, génial, ça repart, ils refont un numéro ! Je m'empresse de saisir le numéro, lui trouve un air de déjà vu, et pour cause : c'était le dernier numéro, il était là toujours en vente. N'avait pas trouvé preneur. Tout un symbole.
(un lien si la presse underground vous intéresse, cliquer là)
mercredi 25 août 2010
Donnez moi de nouvelles données
Je me suis personnellement fait une religion de cette affaire : à partir du moment où on émet, où on diffuse, où on se raconte, où on se filme, où on se met en image(s), on prends et donc on accepte le "risque" que des données de soi circulent.
Ensuite, ben on se responsabilise. Tout simplement. On choisit ce que l'on diffuse, et de par le fait, ce que l'on ne diffuse pas. En conscience.
Mais c'est peut-être là que le bât blesse. Cette question de la responsabilisation, de la conscience. Les gens, je trouve, aiment tellement jeter un jour ce qu'ils ont adoré la veille... Egalement à lire un article sur le sujet dans l'un des blogs du monde diplomatique (google et la neutralité du réseau).
lundi 28 juin 2010
Facebook et twitter, what else ?
Alors je suis allé fréquenter quelques temps les médias sociaux