
jeudi 31 mars 2011
VIH

mercredi 30 mars 2011
Journée mondiale du livre.
lundi 28 mars 2011
Obsolescence programmée
samedi 26 mars 2011
De l'indignation à la stigmatisation
Les "bons esprits" guidés par leurs "bons sentiments", bataillons de la pensée unique, nous ont squatté les unes pendant plusieurs semaines avec "l'indignation", aidés en cela par un vieux monsieur et son bouquin à trois balles.
Oser écrire la phrase précédente, c'est déjà "péché" dans une société figée qui a troqué la pensée et le débat contre l'émotion et le ressenti. Il y a des totalitarismes qui ne disent pas leur nom.
L'encre avait à peine séché, que les mêmes, nous servent "la stigmatisation" comme nouvel os à ronger. Et, bien sûr, ça ne se discute pas. Stigmatiser c'est mal et l'Autre stigmatise.
Il ne stigmatise pas sciemment, il stigmatise parce qu'un autre se sent stigmatisé. Pire, souvent on anticipe, et on dit qu'un autre peut se sentir stigmatisé. C'est donc celui qui interprète qui aurait tous les droits. Plus de débat, plus d'explication, plus d'intellectuels. Du ressenti à tous les étages et quelques verseurs d'huile sur le feu et le tour est joué. Au bûcher celui qui a osé sortir des sentiers battus, de la langue de bois et de la pensée unique dictée par le plus petit niveau commun.
Il fût un temps où on analysait, on développait des arguments, on avançait des idées contraires, on débattait. Bref, on se respectait. On distinguait les faits des sentiments et les mots de leurs effets. On était ouverts et rationnels. C'est fini. Les comptoirs sont entrés dans les lucarnes et on flatte les pores au lieu des neurones comme on suscite la réaction ou la chair de poule plutôt qu'inciter à la construction et à l'idée lumineuse.
Alors, s'indigner pour s'indigner, c'est inutile. Et si on ne s'indigne pas, surtout sous les projecteurs, on n'en est pas moins sensible.
Et, n'est stigmatisé que celui qui veut bien se sentir stigmatisé. Il est des moyens de l'éviter.
Personnellement, si j'avais dû me sentir stigmatisé à chaque critique d'immigré, que je suis, d'étranger (italien), que j'ai été, de conjoint de musulmane, que je suis, de parent de "pâtes au beur", que je suis, de défavorisé, de non-diplômé, de petit, de gueule de métèque, de statut précaire etc. etc. je n'aurais pas avancé beaucoup.
Comme dans tous les domaines, le problème n'est pas dans l'effet déclencheur (une petite phrase par exemple) mais dans la gestion qu'on en fait (l'indifférence est plus efficace que la réaction). Alors si certains se jouent de vous, ne donnez pas prise à leurs stratégies ; pour eux c'est pain bénit.
vendredi 25 mars 2011
La fille aux bas-crayon

Elle pouvait pas attendre le bus ailleurs celle-là ? La voilà à me narguer sans me faire face. Je sens bien qu'elle prend plaisir à me montrer ses jambes de dos. Je vois bien qu'elle se moque de mes quatre-vingt-dix berges. Oh, elle n'a rien inventé avec ses coutures pour flatter ses gambettes. J'ai eu les mêmes moi aussi. Mais bien moins cher, ma p'tite. Un coup de crayon de haut en bas et l'effet était le même, le plaisir du stratagème en plus.
Aujourd'hui, ses jambes à elle sont plus proches de mes béquilles que de mes boursouflures et vergetures. "Le temps efface tout" me disait ma mère. Tu parles ! Des belles conneries tout ça, oui. Mais, j'ai encore ma tête et c'est pas une pimbèche à l'imper court qui va m'impressionner.
N'empêche, elle me fout en rogne à réveiller le passé.
C'était la Marcelle qui me dessinait les traits au crayon épais. Elle était douée. Toujours droit et sans jamais me chatouiller. Du coup, c'est moi qui récoltais les fruits de son talent. Mais c'est du malheur qu'elle me dessinait.
Klaus craqua vite sur les faux-bas jamais filés. Et la Marguerite ne se fit pas prier pour se laisser effeuiller. Aujourd'hui, je ne suis qu'une vieille tige fanée qui attend le bus pour l'hôpital, mais, à l'époque, j'en ai fait tourner des képis et celui de Klaus était le plus raffiné de tous. Foutue vie ! Et si j'attendais plutôt le bus du cimetière ? Aller simple et plus de souvenirs à vous rebouffer les intestins du cerveau.
Ces bas-crayon m'ont fait plus de mal que de bien. Madame Klaus et le débarquement des alliés eurent raison de mes plaisirs furtifs et coupables. Je me retrouvai un matin ensoleillé, Place des Victoires sur une chaise de paille, honteuse, vaincue, et rasée. La foule criait de joie au sacrifice. Les moutons se vengeaient, c'était leur tour de tondre. Quelques crachats plus tard, je tombai au sol, prise d'un dégoût des humains, définitif.
Je sus le lendemain, que j'étais grosse d'une petite batârde que j'élevai sans aimer. Jamais. Elle partit le jour de ses 21 ans vers un ailleurs et elle eut bien raison. J'étais horrible.
Alors c'est pas cette garce à talons hauts qui va m'amadouer, je suis une teigne et je le resterai. Ca se trouve, c'est ma petite fille cette grue. Ferait mieux de s'habiller autrement si elle veut pas qu'un beau salopard lui foute sa vie en l'air en pas plus de temps que celui d'une galipette.
Fait chier la vie ! Ah si j'avais pu gommer le coup de crayon de la Marcelle ! Mais, impossible, c'est la mort qui efface tout, j'vous l'dis moi. Y'a qu'à attendre ; ça vient pas toujours vite, mais ça viendra. Pendant ce temps-là, faudra se farcir des laboureuses de poisse qui attendent le bus en vous tournant le dos. Un petit coup de volant vers le trottoir, ce serait beaucoup vous demander, Monsieur le chauffeur ?
(Photo d'illustration : Louis-Paul Fallot)
jeudi 24 mars 2011
Quelques coups de griffe à Gauche
J'ai toujours été partisan de balayer devant sa porte plutôt que déblatérer sur le voisin, de se remettre en question plutôt que critiquer l'extérieur et de construire plutôt que tenter de détruire celui d'en face.
Aussi, en politique, je suis devenu, avec satisfaction, un spécialiste de la critique de la Gauche et de l'indulgence, parfois de la défense et souvent de l'indifférence vis-à-vis de la Droite. (Si un gamin chaparde un bonbon ou un vélo, je lui trouverais facilement quelques circonstances atténuantes. Si c'est mon fils qui le fait, il y a peu de chances pour que cela arrive puisque je ne les chercherais même pas ; l'intransigeance remplacerait illico l'exigeance habituelle)
Humainement, cette attitude me semble être plus objective, plus honnête et plus à même de créer du meilleur pour tous.
En ces temps qui apparaissent plus troubles que les autres, mais c'est souvent le cas du temps présent, ma besace est pleine de critiques de ma propre famille :
Il est de bon ton d'attribuer à la Droite de gouvernement, la montée du Front National et de l'abstentionnisme. Ah bon ? Et la Gauche n'y serait pour rien ? En délaissant la défense des petites gens pour soutenir systématiquement les classes moyennes et les corporatismes de la Fonction Publique, en faisant élire une dirigeante de parti parce qu'elle avait triché un peu plus que sa concurrente, en présentant des unions de façade et, nouveauté, en l'avouant, en étant opposants primaires, en s'attaquant aux personnes, en cherchant la petite faille chez l'adversaire plutôt que construire et aider la France et les Français en évitant bisbilles et débats stériles, en niant les réalités de terrain, en s'attribuant à tort des sentiments humanistes, en jouant sur l'affectif pour mieux manipuler etc.etc. la Gauche a fait plus que participer au phénomène, elle en est largement co-auteure.
Que ne nous demandent-ils pas notre avis à nous les humbles et les précaires ?
Car chers dirigeants de Gauche, vous êtes loin des réalités, très loin. Vous croyez encore qu'en larmoyant sur notre sort vous aurez nos voix. Vous croyez encore qu'on croit encore en vous.
Les moins regardants d'entre nous s'en vont vers les extrêmes et les autres vers leur grotte ou leur jardin. Cessez de défendre les bien-assis, ceux qui ont tout. Vous parlez de partage et d'égalité et acceptez que certains aient des emplois garantis à vie pendant que d'autres galèrent tous les jours et certains connaissent une vraie misère. Vous ne dites pas la vérité à vos électeurs potentiels, vous flattez vos troupes plus par réflexe que par méchanceté. En un mot, vous fonctionnez comme si le monde n'avait pas changé. Nous, tout en bas, nous le savons bien, nous le voyons bien qu'il a changé le monde. Nous avons besoin de solutions nouvelles pour des problèmes nouveaux.
Vous préférez critiquer le pouvoir du matin au soir. Et parfois, petits malins que vous êtes, vous trouvez des vertus à des Borloo, des Juppé et des Fillon. Nous ne sommes pas dupes, c'est seulement pour les opposer aux yeux de l'opinion à votre adversaire le plus coriace.
Arrêtez votre cinéma, devenez responsables !
En cet entre deux tours de cantonales, vous avez fait de grands discours sur la division qui faisait perdre. Ah c'est joli !
Dans ma ville, certains, dans d'autres cantonales, avaient présenté un candidat contre le PS, il y a quelques années. Aujourd'hui, de nouveau copains avec le PS, qui les avait exclus, ils se plaignent de la présentation d'autres candidats de Gauche. Mais, ou je suis bête ou je ne vois pas la différence ?
Dans ma ville toujours, un responsable local de parti, se plaint de la même division des forces de Gauche. C'est pourtant son parti qui avait présenté Madame Taubira en 2002, candidature qui avait empêché Jospin d'être au second tour.
Et les double-langages comme ceux-là sont légion.
Le pire c'est que j'ai de l'amitié et beaucoup d'affection pour les personnes dont je parle. C'est comme ça, il faut être sévères avec les siens.
Alors Amis de Gauche, ou vous arrêtez de vous plaindre de la dérive des opinions vers des partis peu fréquentables et vous baissez les bras, ou vous vous reprenez en mains, vous dénoncez les injustices, notamment celles liés aux statuts scandaleux de certains et faites ce qui devrait être votre boulot, à savoir, vous occuper de la dignité des plus démunis ! Je suis disponible, si vous souhaitez vraiment savoir ce qu'il se passe dans la tête des petites gens.
Pour que les choses soient claires : J'ai voté Blanc au premier tour de ces cantonales et je voterai pour le Communiste opposé au Front National au second tour dimanche.
Enfin, l’implosion politique ?
Où dans un même mouvement se côtoient des hommes et femmes se voulant toutes et tous leader mais ne partageant pas grand-chose d’idées et valeurs communes.
Il est loin le temps des grands hommes qui sont devenus hommes d’Etat parce qu’avant, ils avaient été de grands hommes politique qui savaient rassembler, fédérer. Autour d'idées et d'un projet.
Je ne saurais que trop vous suggérer de lire ou d’écouter l’édito de Thomas Legrand du mercredi 23 mars. Extrait : Il y a en France une cartographie de la représentation politique qui ne ressemble pas au terrain. Le fait majoritaire qui est la marque de la Cinquième République a figé les blocs, droite et gauche. Et plus loin : Il y a, en ce moment moins de distance politique entre Borloo et Strauss-Kahn qu’entre Borloo et Sarkozy. Il y a plus de proximité sémantique entre Guéant et Le Pen qu’entre Guéant et Bayrou.
Alors, comme le dit l’éditorialiste de France Inter, l’épisode que nous venons de vivre montre que, malgré les pesanteurs institutionnelles, tout est là pour un « Big One » en 2012.
Ce serait en effet une très bonne nouvelle !
dimanche 20 mars 2011
Pour ne pas voter idiot!

http://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/institutions/collectivites-territoriales/pouvoirs/quels-sont-pouvoirs-du-departement.html
Tout savoir sur les Élections cantonales !
http://vosdroits.service-public.fr/F1958.xhtml
samedi 19 mars 2011
page 101
Georges

(La chanson n’a pas de titre… )Extrait :
Elle entra dans ma vie en patins à roulettes
Elle était verdelette elle était bachelette
L'amour comme toujours marchait à l'aveuglette
J'ai pas su m'écarter j'ai fait une boulette
La publique rumeur m'a mis sur la sellette
La chair fut un peu triste elle était pucelette
Et moi je n'étais pas un véritable athlète
La fringale la prit j'avais pas de galette
Elle quitta ma vie en patins à roulettes (…)
Cette chanson est publiée dans «Brassens, homme libre» le nouveau livre de Jacques Vassal aux éditions Le Cherche Midi qui avaient déjà publié les Oeuvres complètes de Brassens en 2007
(Source : biblio.nouvelobs.com)
Et aussi à lire ce week-end l’excellent « papier » de Valérie LEHOUX Derrière la moustache dans le numéro 3192 de Télérama. ( Je vous conseille la version papier)
A l’occasion de l’expo à la Cité de la Musique à Paris.
vendredi 18 mars 2011
Pour qui que j'va voter.
J'ai l'habitude de dire pour qui je vote à chaque élection. J'ai toujours trouvé ridicule cette histoire de "secret de l'isoloir". Que la foi de chacun soit intime, pourquoi pas, mais le vote ! Passons, je me fiche du choix des autres, mais, il me plait de dévoiler le mien.
Dressons le tableau "Cantonales" pour moi :
Au vu de l'offre dans mon canton (3ème des Alpes-Maritimes), j'ai mis un peu de temps à me décider (mais je procrastine moins que DSK quand même).
8 candidats chez moi :
Vous allez voir comme c'est sexy !
1 Identitaire, 1 Souverainiste, 1 Régionaliste, 1 ? disons,... heu... collectiviste de la gauche extrême, 1 Extrême-Droite, 1 Ecolo, 1 Droite, 1 Gauche.
Gardons les 3 derniers pour rester sérieux.
Ecolo ? Pour moi ce n'est pas possible. Je n'ai jamais voté pour eux et j'ai mille raisons dans ma mémoire. Et, l'actualité vient de nous confirmer qu'ils avaient plus le sens de l'opportunisme que le sens des responsabilités. De plus, j'ai vu la voiture de campagne du candidat stationnée sur un passage piétons et rien que ça, c'est suffisant pour me faire fuir.
Droite ? Jamais voté à Droite non plus. Ce n'est pas ma famille. Si j'apprécie certaines actions, je ne m'imagine pas déposer un bulletin de Droite dans une urne. Encore que le candidat est un associatif Nouveau Centre/UMP et ce que je lis de lui, n'est pas horrible. Mais, bon, c'est comme ça.
Reste la Gauche. Ma famille. Je m'obstine. Pourtant, il y a de quoi dire, je vous le dis ! (J'ai même voté Royal un jour. Faut vraiment être borné !) Alors, figurez-vous que dans mon canton, le candidat de Gauche est le sortant et qu'il est... Communiste.
Je ne voterai pas pour lui non plus :
1. J'ai passé l'âge de voter communiste.
2. Cet élu a passé son temps à se plaindre du fait que le tram ne désservait pas les gares SNCF et, quand la proposition de faire démarrer la future ligne 2 de la Gare SNCF de Riquier a été faite, il s'est battu pour la faire démarrer de plus loin. Logique implaccable ! Détail personnel, le nouveau tram devait passer sous mon balcon, et à cause de ce monsieur, je garderai la circulation automobile.
3. Un jour je l'ai aperçu au volant de sa voiture sans ceinture de sécurité. (Rédhibitoire !)
4. Ses prospectus de campagne sont d'une créativité affligeante et ses arguments sont plutôt "contre" les autres.
5. Il est soutenu par le Parti Socialiste et avouez, que ce n'est pas engageant.
Alors, pour qui que j'va voter ? Dans les scrutins précédents, lorsque je n'ai pas eu de candidat me convenant, j'ai voté "Nul", c'est-à-dire que je glissais dans l'enveloppe un bulletin fait-maison avec le nom d'un candidat d'ailleurs, d'une autre circonscription ou d'un autre canton. Pas de chance, ceux à qui je pensais, sont eux aussi soutenus par le PS, après en avoir été exclus, (vous suivez toujours la logique ?).
Conclusion, pour la première fois, je vais voter "Blanc". Une enveloppe vide. (Je me souviens qu'un jour de dépouillement, je trouvais très frustrant d'ouvrir une enveloppe vide - Désolé pour ceux qui ouvriront la mienne... mais la soirée va passer vite, si l'on en croit les prévisions de participation)
Ah, c'est sûr, si le MODEM avait présenté un candidat, il m'aurait facilité la vie.
jeudi 17 mars 2011
lundi 14 mars 2011
De l'Energie sur cette Terre


"Elle avait des bagues à chaque doigt"
dimanche 13 mars 2011
jeudi 10 mars 2011
A vos ordres ! La dictature de l'excellence.
Comme souvent, Madame a eu le dernier mot. C'est bien connu et mal admis par la gente masculine. Dans son fort intérieur l'homme sait que Madame dispose, décide, choisit et oriente la vie de la maisonnée. Mais attention entre mâles, on n'en pipe mot. Faut pas déconner quand même ! Combien d'hommes ayant épousé une autre femme que la leur, auraient eue une vie radicalement différente de leur vie actuelle. Combien auraient été bourreaux de travail et sont fonctionnaires pépères, combien auraient eu un chien et ont 4 enfants, combien iraient aux sports d'hiver et vont à la mer, combien auraient une grosse Mercedes et ont un monospace, combien ne prendraient pas de vacances et y sont contraints, combien se la joueraient routards et baroudent dans leur salon.
mercredi 9 mars 2011
Du bon usage du développement personnel
L’auteur du billet - un homme qui nous a habitué à de longs billets passionnés et qui sait écrire- nous parle (brièvement) d’un bouquin certes à la très agréable lecture qui conforte mais pour ajouter aussitôt que l’on n’apprend pas grand-chose, voir qu’il y a relevé quelques lieux communs et des évidences qui peuvent apparaitre comme des banalités !
Je me suis donc posé la question de tant de clics :
-Les nombreuses citations extraites du bouquin ? C’est vrai que voilà de quoi méditer à moindre frais chaque matin.
-Le buzz ? La tête de liste incite au clic sur la Toile.
-Où bien autre chose, un de ces mystère de la blogosphère?
Vous l’aurez compris, je traite tout cela avec humour mais nous en avons parlé, -l’auteur du billet et moi- sérieusement, l’autre jour sur les bords de la méditerranée.
Les rayons « développement personnel » qui prennent de plus en plus de place dans les rayons librairie des magasins. Ces auteurs qui racontent –avec plus ou moins de talent - les mêmes choses et développent des recettes qui, c’est le moins que l’on puisse dire, ne datent pas d’hier.
Ces revues aux unes "programme" et slogans qui en font le succès. Ces Notes sur les blogues (Et je ne suis pas en reste sur mon « carnet »…) qui créent de la visite et du commentaire, c’est une évidence. Comme l’est et c’est une très bonne chose, (un acte déjà), l’écriture thérapie.
Que rien n’est mieux que de poser des actes.
Les choses que je peux changer dit La prière de la sérénité. Où encore la force de réaliser ce que je peux faire dans une autre version citée par sœur Emmanuelle dans un livre passionnant « Vivre à quoi çà sert ? »
Que rien non plus ne remplace l’aide que l’on pourra trouver chez ceux qui par leur vécu et leur expérience ne demande qu’à partager un peu de leur parcours. Va du côté des gagnants, me disait-on le mercredi dans les premiers pas de mon rétablissement. Gagnant au sens d’engagé dans une vraie démarche de travail sur soi.
Ces réflexions déposées, reste que je le lirais sans doute ce Petit traité de vie intérieure, ne serait-ce que parce que j’aime lire cet auteur. Et puis, c’est bien de cliquer sur le lien d’un bouquin où sur un bandeau rouge est écrit Vivre est un art.
mardi 8 mars 2011
Pas d'chance
dimanche 6 mars 2011
La vie associative Alsacienne en chiffres et en lettres !
jeudi 3 mars 2011
mercredi 2 mars 2011
"Apostille au crépuscule" Michel Onfray
