Je ne l'aime souvent pas, cette ambiance fin de règne qui flotte sur la France. Et sans doute au-delà.
Je me disais, hier, occident oxydé excédé excessif.
Bref, les pays qui s'autoproclament riches.
Par contre, j'aime les saveurs qui se nichent derrière cette fin de parcours. Parmi elles, cette énergie renouvelable qu'est l'espoir.
Je ne cesse d'être esbaudi par sa densité. Par sa capacité à revenir, et revenir encore.
A faire de nous, finalement, des citoyens patients.
Au fond, on se dit que l'herbe est verte. Toujours.
C'est ce qui nous perd. Et, sûrement, nous sauve, aussi.
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