samedi 28 janvier 2012

Le temps des Nits

Aujourd'hui, aucune raison particulière à cela, grande journée The Nits.
Ce sera mon fond sonore de la journée. Je vous en propose quelques gouttes ici. Avec notamment ce morceau, compagnon de ma route depuis quelques années maintenant, l'un des premiers que j'ai découvert d'ailleurs (avec celui-ci).


Car c'est insupportable.
Ce groupe de musique, que je classerais pour ma part dans un genre pop-folk soyeux, assurément l'un des meilleurs du monde, l'un des plus durable aussi, n'a pas l'audience qu'il mérite.
Voilà une formation qui trace pourtant son sillon, évolue en permanence, se renouvelle toujours, et ce depuis de longues années.
Bonheur pour moi que de les compter parmi mes amis au fil des années, eux que j'avais découvert par hasard à la fin des années 1980, alors que je profitais de mes années étudiantes pour parfois m'installer durablement dans la cabine d'écoute d'un disquaire nancéien.
Ainsi qu'on peut le voir sur wikipédia (cliquez ici), le groupe est hollandais. Il chanter en anglais. Je me retrouve plutôt bien dans ce qui est décrit sur le site de l'encyclopédie :
" Leur style musical a beaucoup évolué durant leur carrière. D'abord très marqué par la vague New wave et l'influence des Beatles et des Kinks, le groupe s'est forgé au cours des années 1980 un style bien à lui, une pop tantôt drôle et entraînante, tantôt mélancolique, toujours mélodique avec des chansons de plus en plus construites. Parmi les morceaux qui ont attiré l'attention du public durant cette période, on peut citer Adieu Sweet Bahnhof, Nescio, Sketches of Spain et In the Dutch Mountains. Surtout connus pour leur sens aigu de la mélodie et la finesse de leur jeu, les Nits, malgré leur discrétion, ont séduit de nombreux mélomanes à travers une vingtaine d'albums en trois décennies" .
Au fait, Nits, ça se traduit par... poux.
Explication de Philippe Barbot, chroniqueur : Nits, en fait, ça veut dire « lente », ces petits trucs qu’on traque dans les chevelures enfantines, surtout dans le primaire. Quand ça s’attrape, il  est difficile de s’en débarrasser. Exactement comme les Nits : il suffit de les découvrir pour devenir accro.
Le site officiel est là.
Quelques articles dénichés sur le net : Télérama, blog des disques rayés (The Nits 1, 2, 3 et 4), Pourquoi il faut aimer les Nits,
Bon samedi !
Ci-dessous quelques vidéos de morceaux des Nits !


The Nits - In The Dutch Mountains par tigwenn





D'autres vidéos ici.

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