J'étais en colère après François Hollande, ce lundi.
Rien n'a changé !
Un, c'était le bordel sur la route. Comme chaque matin. En pire. Le lundi, j'ai remarqué, soit ça roule plus mal, soit y'a plus de voitures, soit les agapes du week-end passent mal, soit les gens accélèrent du frein pour aller bosser. Un lendemain de primaires, ça le fait pas !
Deux, dans le supermarché, toujours cette sensation que d'une visite à l'autre, les prix ont encore bougé. On dirait des puces de mer, les prix. Sautillent sans arrêt. A la caisse, j'ai fait mon habituel jeu (deviner combien je vais payer). J'ai de nouveau paumé. De dix points, si je puis dire. J'avais parié 62 €, j'étais dans les 72 €. Un lendemain de primaires, ça le fait pas !
Trois, à la maison, il n'y avait plus de café dans la thermos quand j'ai voulu m'en servir un. J'ai donc dû en refaire. Attendre. Un lendemain de primaire, ça le fait pas !
Quatre, dans le Libération du jour, dix pages à se coltiner pour l'après-primaires, comme si on avait le temps. Ca va vite, tout ça, trop vite. Heureusement, dernière page, portrait de la chanteuse L. Après lui, L me suis-je dit un lendemain de primaire. Ca le fait !
Bref, il a du taf l'impétrant final.
La France au François, ils ont dit :-)
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