D'un dimanche l'autre. Que dire de cette semaine qui vient de s'écouler à travers quelques liens internet notés ça et là. Que ressort-il de cette semaine ?
D'abord le froid qui a donc déboulé au dernières lueurs de janvier, d'un coup, et comme toujours, voilà que la société et moi avons pensées pour celles et ceux qui n'ont pas demeure, pas chauffage. Côté présidentielle, on évoque largement le logement, c'est à qui se précipitera pour clamer son désir de changer les choses dans ce domaine.
Un domaine, rappelons-le, qui met hors la loi en toute impunité un certain nombre d'élus de la république, dont on se demande si à la longue, ils ne finissent pas par être des gestionnaires et c'est tout. Pas toujours de très bon gestionnaires, donc.
J'ai aussi lu que d'autres alibis rigoureux pointaient le bout de leur nez et que si le prisme ne changeait pas, on n'allait pas sortir aussi facilement que cela de l'auberge. On peut en tout cas affronter le frimas en chansons.
Ensuite noter que la Saint-Valentin approche, maintenant que les fêtes, les soldes, la frangipane et les crêpes sont (déjà) derrière nous. Et que c'est occasion non de se précipiter dans les échoppes pour l'annuel cadeau à la dulcinée, mais pour se pencher quelques instants sur un dossier qui évoque l'amour courtois.
Au menu : une évolution sociale à travers l’idéalisation de l’amour est surtout le besoin d’une élévation morale et du dépassement de soi. L’homme médiéval cherchait à transcender la matière afin de hisser son esprit dans les sphères d’un plaisir hors du commun, un plaisir qui lui permettait de cultiver patience, maîtrise de soi, humilité, fidélité, savoir-vivre. Les troubadours, hérauts d’une façon de vivre plus civilisée, plus policée, tentaient d’extirper leurs semblables de la brutalité et de la grossièreté propres à la société féodale. Or si le projet d’un amour idéal a échoué sur un long terme, il semble qu’il ait néanmoins permis à l’homme du Moyen-Âge d’adoucir ses mœurs et d’envisager doucement le raffinement de la Renaissance.
Côté environnement, j'ai noté, lard ou cochon ?, que l'idée d'une ONU de l'environnement fait son chemin. Et que côté nucléaire, si on ne nous dit pas tout, on nous en dit davantage progressivement. Du coup, rêvons à la Lune. Sans rapport avec la semoule, un article sur ce qui a changé cinq ans après la loi anti-tabac. Quelques surprises. Toujours sans rapport, mais cette fois parlons bouffe, et malbouffe, et tant qu'à faire, bonne bouffe.En découvrant ce site et en lisant ce site. J'aime en tout cas cette idée : Contrairement aux idées reçues, il est possible de nourrir tous les habitants de la planète sans nuire ni à notre environnement ni à notre santé.
Enfin, noté ici ceci : le radicalisme rigoureux peut conforter la pensée, il peut tuer l’activisme. Il y a des compromis qu’il ne faut surement pas faire pour ne pas basculer dans la réversibilité de l’action ou du programme, reste à savoir lesquels, mais il en est qui pourraient bien devoir être nécessairement faits pour rester en masse progressiste et progressive, reste à savoir lesquels.
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