Il semble que pour les femmes et les hommes de notre temps, la vie intérieure compte de moins en moins. C’est l’idée que développe le juriste Jacques Le Goff dans une tribune (Ouest France). Il décrit notre vie superficielle, liquide, portée vers l’extériorité. Sa réponse à ce vide intérieur?
Lire tout l'article ici : Le problème industriel de la vie intérieure.« Peut-être réapprendre à « méditer », en se souvenant de l’origine médicale de ce mot qui signifie « porter remède ». Et le faire en se désintoxiquant de tant de préoccupations, si souvent frivoles, pour retrouver chez « l’homme sans gravité » que nous sommes, un vrai centre de gravité, dans une vie intérieure où la joie vient avec l’équilibre ».
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