Une semaine chez papa, une semaine chez maman, deux chambres, deux maisons: voilà le quotidien des enfants qui vivent sous le régime de la garde alternée Aujourd’hui, la loi permettant ce mode de garde en alternance a dix ans mais continue à susciter le débat. Certains veulent aller plus loin, tandis que d'autres considèrent que le système actuel est déjà difficile à supporter pour bien des enfants, notamment les plus jeunes d’entre eux.
Lire l'article ici : La garde alternée a dix ans : quel est son bilan
Voilà un sujet qui m'a toujours interpellé.
RépondreSupprimerSensation qu'il n'y a rien qui fonctionne vraiment. Parce que c'est ce que chacun en fait qui offre le bon ou le mauvais fonctionnement.
Peut-être parce que gamin, à une époque où les séparations et les divorces n'étaient pas monnaie courante, en tout cas pas aussi "évidents" que de nos jours, j'étais terrifié par cette perspective.
Ou alors c'est parce que le long du chemin de notre vie, nous avons croisé et croisons des couples qui se séparent, avec des enfants "au milieu" ou plutôt à côté.
Regardé l'autre soir un "documentaire" sur des papas séparés qui passaient leurs vacances avec leurs enfants.
Que de souffrances, dans tout ça. D'efforts. Finalement.
A une copine, je conseillais le logement alterné. Les enfants gardent leur chambre et leur maison, et ce sont les parents qui déménagent chaque semaine. Parce que souvent, cette décision de garde alternée cache l'égoïsme de parents qui veulent avoir leur semaine de tranquillité et/ou surtout "embêter" l'autre.
SupprimerAprès, on s'étonne que le niveau scolaire baisse, mais quand les enfants gèrent leurs parents, difficile de se consacrer aux apprentissages. Je ne vous raconte pas la catastrophe en CP …
J'ai omis d'expliquer mon raisonnement : ce sont les parents qui décident de se séparer, c'est à eux dans supporter les conséquences.
SupprimerJ'aime bien cette idée, moi !
SupprimerEt je partage le fait que ce sont les enfants qui gèrent un peu trop.
Merci Sar@h pour cette contribution, qui dit beaucoup en peu de mots.
Et elle a fait quoi, la copine ?
Le logement alterné ?
Ceci dit, je pense aussi aux parents qui se séparent "géographiquement". Qui se retrouvent avec du 400 ou du 800 bornes.
Pas simple...